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  • Photo du rédacteurNon à la DPJ

Témoignage véridique d'une mère à bout de souffle

Je me présente, XXX, mère de XXX, né le 31 octobre 2016. Je n’ai jamais emménagé avec le père dû à son problème de boisson et de violence. J'ai été victime de violence conjugale et d'abus sexuels. J'ai fréquenté deux centres d'hébergement pour femmes violentées avec mon fils, durant ma relation avec le père. Au final, le 3 septembre 2019, j'ai pris contact avec ma travailleuse sociale, XXX, au CLSC de sainte-Geneviève de Batiscan, car je craignais pour la sécurité physique de mon fils, en lien avec le comportement du père... Malgré mes peurs et mes réticences, la travailleuse sociale en question ma convaincue qu’il était préférable de contacter les services de la protection de la jeunesse, ce que j’ai fait avec elle. Le vendredi 6 septembre 2019, je suis allée voir la police afin de parler de mes inquiétudes parce que je savais que viendrait le moment d'obtenir un jugement pour la garde de notre enfant et je voulais prendre les précautions nécessaires afin que mon fils soit en sécurité. Cette journée-là, j'ai parlé au patrouilleur, XXX, et j’étais accompagnée de mon ami d'enfance, XXX. Ce jour-là, nous nous sommes présentés à la Sûreté du Québec, sur la rue Tourigny à Trois-Rivières. Le 5 septembre 2019, j'ai aussi entrepris les démarches pour avoir un avocat pour me préparer au tribunal qui suivrait. Le 24 septembre 2019, j’ai rencontré Mmes Paradis et Ayotte. J’étais avec mon amie Isabelle pour qu’elle puisse m’aider à expliquer la situation car à ce moment-là, j'avais énormément peur pour la sécurité de mon fils et la mienne car, depuis quelques semaines, j'avais reçu des menaces et vécu beaucoup d'intimidation venant du père et de sa famille. Suite à notre rencontre, elle me demande de rencontrer Yannick Tessier, un intervenant qui travaille au CLSC de sainte-Geneviève de Batiscan, ce que j’ai fait. J’ai eu trois rencontres avec lui mais je me suis rendu compte que quelque chose n'allait pas, suite à certaines questions étranges… Le 16 octobre 2019, Mme Paradis me téléphone afin de céduler une rencontre pour lui parler de ma situation et c'est cette journée-là qu'elle m'a annoncé que je ne pourrais pas aller récupérer mon fils à la garderie et que je devais me présenter au tribunal le lendemain, soit le 17 octobre 2019 pour 9 heures. En sortant de l'édifice, j'ai tenté de rejoindre mon avocat à plusieurs reprises, jusqu'au lendemain matin mais je n’ai jamais reçu à le joindre et même l'avocat commis d'office a refusé de prendre le dossier donc, j'étais seule devant le juge, Mme Paradis, l'avocat de mon ex et évidemment, ce dernier. C’est là que le père a obtenu la garde de notre enfant avec un papier de sauvegarde d'urgence demandé par le centre de la protection jeunesse, délivré par Mme Caroline Paradis.

Le 17 octobre, lors de la première comparution, Mme Paradis a affirmé avoir lu les messages textes que j'avais envoyé au père concernant mes craintes et que ceux-ci n’étaient pas cohérents… Elle a même dit que j’avais eu un accident d'auto avec mon fils à bord et qu’ils ne savaient pas si le bleu qu’il portait, avait était causé par sa ceinture ou si ça pouvait avoir été causé par sa mère, moi, alors que jamais au grand jamais j'aurais levé la main sur mon bébé.

Elle a parlé de viols et non d'abus sexuels... Il y a une énorme différence entre les deux...et je parle en connaissance de cause. Ceci n’est qu’une partie des mensonges qu’ils ont dits sur moi. Le lundi suivant, j'avais ma première rencontre supervisée avec mon fils et dans l'après-midi, j'avais un rendez-vous de cédulé avec M. Yannick Tessier au CLSC de sainte-Geneviève. À ma grande surprise, j'ai reçu un appel m'informant que M. Tessier venait d'annuler tous ses rendez-vous de la journée et qu'il allait reprendre contact avec ses patients afin de nous céduler une nouvelle date de rencontre…

Lorsque je vois mon fils de 3 ans, il est souvent fatigué, vide d'énergie et souvent malade puisque ses symptômes persistent longtemps...il a le teint blême et des cernes bleu-vert sous les yeux. Mon fils est aussi victime d'abus sexuels. Il dit clairement qu'il est tanné, qu'il est fâché et en colère...qu'il ne veut plus...il ne veut pas se faire toucher le pénis…C'est horrible pour une mère d'être là à entendre tout ça et de ne pas pouvoir rien faire et ça va être comme ça tant que le système va les protéger et étouffer la vérité. Je vois mon enfant brisé et en colère... Mon fils, mon bébé, la chair de ma chair dépérit de jour en jour. Une fois, mon ex m'a envoyé notre fils avec une bobette souillée de caca. Par la suite, la bobette a été lavée et remise. Mon fils est aussi tombé dans les escaliers chez son père et il a des marques et des bleus sur les jambes…

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