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  • Photo du rédacteurNon à la DPJ

3 petits garçons volés à leurs parents

Voici mon histoire. J’ai 3 garçons; Mathias qui a 5 ans, Mayson qui va avoir 3 ans au mois d’avril et Mylan qui va avoir 1 an au mois de février. Je me suis fait enlever mes deux plus vieux, Mathias et Mayson, lorsque j’étais enceinte. On me disait qu’ils avaient les pieds sales, les mains sales et tout. J’ai des chiens à la maison, le plancher je le fais tous les jours mais ce n’était jamais assez pour eux. Ils me les ont enlevés exactement le 21 novembre 2018 en me faisant croire qu’on allait faire le test d’évaluation à Mayson alors j’y suis allée. Mon chum ne voulait pas que j’y aille seule mais j’y suis allée en me disant qu’ils n’allaient pas me reprocher de ne pas y être allée. Je me présente et ils me demandent si mon conjoint allait être présent. Ils savaient très bien qu’il était en formation et ils me disent c’est dommage qu’il ne soit pas là. Et là ils m’annoncent qu’ils me retirent mes enfants d’urgence. Ça été un gros coup pour moi, enceinte, je me suis battue cœur et âme depuis le début mais ce n’était jamais assez. Les mois passent, j’ai des visites avec mes garçons, je me présente à l’heure aux rendez-vous chez le dentiste et l’audiologie pour Mayson et tout était bien. Oui ça traînait chez nous mais mes enfants ne manquaient de rien. J’ai commencé une routine pour que ma maison soit toujours propre mais aucune ouverture de leur part. Le 10 février 2019, j’ai accouché de mon garçon Mylan. J’avais tellement peur qu’ils me l’enlèvent. La travailleuse sociale appelait à l’hôpital et elle me disait que je quittais l’hôpital avec mon bébé. J’étais très heureuse, enfin une lueur d’espoir. Un mois passe, tout va bien, bébé prend du poids, je le présente à ses frères aux visites supervisées mais j’ai toujours peur qu’ils me l’enlèvent.

Aux dernières visites, je ne l’apportais plus parce que j’avais peur qu’ils partent avec mon bébé. Au mois de mai, ils m’ont enlevé mon bébé car j’avais fait une crise de panique et la veille on avait fêté un peu. Ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas laisser mon fils dans cet état. Pourtant, nous allions nous coucher quand elle est entrée chez nous sans cogner. Elle s’est assise dans le salon, je parlais vite et je ne me sentais pas bien parce que mon copain m’avait quitté le matin même. Je me suis présenté 3 fois par semaine aux contacts. Mon fils est tombé en détresse respiratoire et bronchiolite parce que la famille d’accueil ne savait pas déboucher un nez de bébé et deux semaines après, même affaire, encore une bronchiolite alors j’ai pogné les nerfs et demandé à changer de travailleuse sociale mais ils n’ont pas voulu. J’ai aussi demandé à changer mon bébé de famille d’accueil et là encore, ils n’ont pas voulu. La travailleuse sociale m’a donné un 810 et à cause de ça, j’ai dû couper tout contact avec mes enfants. Je ne les vois plus depuis plus de 6 mois, ils me manquent tellement. Le 3 octobre, j’ai été avisée que mon fils a été abusé sexuellement, le 16 septembre, par une fille de 14 ans. Mon fils Mathias, mon cœur de maman a eu très mal et je me posais plein de questions. Le signalement a été fait le 16, a été retenu le 19 et la jeune a été retirée le 20. J’ai porté plainte au commissariat de police. Ils sont allés voir dans le dossier de Madame Vézina et tout était arrangé pour essayer de cacher l’agression. Ils m’ont menti en me disant que c’était le 16 septembre alors que c’était le 14 ce qui signifie qu’ils l’ont caché pendant 2 jours, ça n’a pas de bon sens, après ça il faut que je me dise que mes enfants sont en sécurité. En janvier, l’intervenante m’annonce qu’ils placent mes enfants jusqu’à majorité. Je ne peux plus leur remettre de cadeaux tant et aussi longtemps que les contacts sont suspendus. En plus de tout ça, elle ose me dire de garder les cadeaux pour leur donner plus tard. On ne sait pas quand mais vous pourrez leur dire que maman a pensé à eux pendant tous ces mois ou ces années. Voyons donc, comment elle peut dire quelque chose comme ça à des parents qui se battent depuis le début et à qui on n’a laissé aucune ouverture ? En plus, la plainte pour abus sexuel à mon fils a été fermée parce que la jeune n’a pas voulu parler. Où sont nos droits ? Où sont les ouvertures ? Mes garçons me manquent énormément et mon seul souhait est que mes enfants reviennent à la maison. Que la DPJ soit dénoncée et que toutes leurs cachotteries soient divulguées au public et aux autorités pour que ça change. Aidez-moi, je vous en supplie, à récupérer mes enfants et à faire bouger les choses. On doit dénoncer leur abus de pouvoir parce qu’ils ne m’ont laissé aucune chance. Ça nous démoralise, nous blesse, ça fait très mal. Je veux dénoncer leur travail bâclé et avoir une ouverture. Je viens d’avoir une nouvelle travailleuse sociale à la fin septembre. Je viens tout juste de la rencontrer, ce mois-ci, en janvier. Trouvez-vous ça normal ? Après ça, ils disent qu’on a rien changé mais ils ne sont jamais revenus chez moi. Ils me rentrent dedans à cause de ma médication, parce qu’elle contient de l’amphétamine, mes tests d’urine sont positifs et c’est là-dessus qu’ils me harcèlent en cour. J’ai emmené un papier de mon médecin qui dit que oui c’est normal que les tests d’urine soient positifs à cause de ma médication mais ils ne veulent pas me croire. Ils veulent juste garder mes enfants en placement.

Voyons donc, pour bébé Mylan, tout ce qu’ils avaient à me reprocher c’était que j’avais fêté un soir mais je n’ai plus fait de fête depuis mais je me fais quand même accuser en me disant que j’ai consommé la veille, j’ai dit oui 30 ml et c’est ma médication mais ils pensent vraiment que je consomme encore. En plus, on n’est même pas capable d’avoir un avocat jeunesse parce que je suis en conflit d’intérêt avec tous les avocats pour la jeunesse. Je ne comprends pas, alors je dois me défendre toute seule ? J’ai même demandé au bureau du Saguenay qui a envoyé un mandat à tous les avocats pour que je sois représentée mais je suis sans réponse, c’est même inscrit sur le mandat que je suis prête à payer s’il le faut. Ce n’est pas normal de ne pas pouvoir avoir d’avocat. Aidez-nous svp, laissez la chance à leurs parents qui se sont battus, depuis le début. Je veux dénoncer leur travail bâclé et dénoncer que la famille d’accueil a caché cet évènement 2 jours et que mon cœur de maman se pose beaucoup de questions à savoir, pourquoi la DPJ abuse de leur pouvoir ? Oui il y a des familles qui ne sont vraiment pas capables de s’occuper de leurs enfants mais moi ce n’est pas mon cas, leur chambre est toujours prête pour leur retour et j’espère sincèrement que vous pourrez nous aider pour que je puisse à nouveau voir mes enfants dormir toutes les nuits. Aidez-nous svp et merci.

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